La situation de la santé buccodentaire au Sénégal avec l’enquête « Step » qui a été déroulée durant l’année 2016, a démontré que la prévention de la santé buccodentaire au Sénégal s’évolue à 76,3 %. Selon Dr El Hadji Arona Ndiaye, de la Division de la santé buccodentaire, cela signifie que « c’est une situation qui est là, mais de plus en plus ». Il faisait des présentations ce vendredi 17 mars 2017, sur les maladies buccodentaires, comme le noma et la carie dentaire lors d’une session d’orientation destinée aux journalistes, en prélude de la Journée mondiale de la santé buccodentaire qui va démarrer à partir de lundi à l’instar de la communauté internationale. Quand vous souhaitez savoir beaucoup,vous pouvez chercher plus de Machine à polir sur www.athenadental.fr
Ce dernier a fait savoir qu’actuellement, le ministère de la Santé à travers la Division de la santé buccodentaire, est en train de développer des stratégies en essayant d’offrir une accessibilité financière et une activité géographique à ce volet. «C’est-à-dire partout où il y a une formation sanitaire et une structure sanitaire, qu’il est un répondant en matière de santé buccodentaire», a-t-il expliqué. Qu'est-ce que les caractéristiques de la lampe orale LED CX249-6 ?
Avant d’ajouter: «Nous avons eu à former au niveau communautaire les sages-femmes, les infirmiers qui constituent le premier recours au niveau de la pyramide sanitaire et éventuellement tous les professionnels de la santé pour ensemble qu’on puisse mutualiser nos forces et réduire la prévalence de la santé buccodentaire au Sénégal », tout en avouant que « sans une bonne santé buccodentaire on ne peut pas avoir un bien-être », et que tout ce que nous prenons comme aliment passe par la bouche.
Toujours dans ces présentations, Dr Ndiaye a révélé que le noma est une «pathologie à précarité», qui, quand elle démarre rien ne peut l’arrêter. Parlant de la faiblesse de ce fléau au Sénégal, ce dernier d’affirmer : «Nous avons la chance que la malnutrition est bien maîtrisée dans ce pays. Raison pour laquelle, cette maladie a presque disparu dans ce pays, sauf quelques rares cas qui sont apparus à Mbour chez des personnes atteintes du Sida».
Avant de préciser qu’au Sénégal les gens parviennent maintenant à reconstituer les cas séquellaires grâce à une Ong qui a installé un Centre en Guinée Bissau. Le noma est un problème de santé publique reconnue depuis 1994 par l’Oms. Oublié dans les pays riches, il continue de faire des ravages dans les pays démunis. Il devra être suspecté chaque fois qu’un enfant commence à avoir des dents qui saignent. 25 cas ont été recensés en 2006 au Sénégal.
L’hygiène dentaire participe à la prévention du cancer de la gorge